Le voyage
Cette fois, j'ai cherché les ennuis. Effectivement je suis parti lors des grèves des pilotes Air France (le 14/11/2008).Donc comme prévu, mon vol a été annulé la veille pour un changement de vol le jour même mais 3 heures plus tôt... Je me rends à l'aéroport pour le vol de 7h30, ce qui au passage me fait lever à 4h du matin...
Bref, j'arrive à l'aéroport, j'enregistre mon bagage et arrivé dans la salle d'embarquement (oui, vous pensiez certainement, comme moi que tout c'était bien passé :) ), une annonce nous signale que le vol va être annulé faute de pilote (ouf, je pense que c'est plus sage de ne par décoler s'il n'y a pas de pilote dans l'avion...).
Donc rechangement de vol pour finalement ne décoler qu'à 10h... Les correspondance ce passent bien (Amsterdam, Memphis, Austin).
(Remarque : J'ai appris un truc ce jour là, j'ai toujours pensé que Memphis s'écrivait MeNphis et pas Memphis)
Le séjour
Donc me voilà à Austin, Texas (oui dès qu'on entend Texas, on voit les chapeaux, les cowboy et les chevaux).A ma grande surprise, Austin n'est pas une ville de cowboy, j'ai vu bien plus de chapeaux à Reno (Nevada, là ça sonne moins cowboy). Que dire d'Austin... C'est beaucoup moins facile... En gros ce que j'ai retenu d'Austin c'est :
- Culturelement : Rien à part le musée d'art contemporain (que je n'ai pas eu le temps de visiter et le Capitole (une grande banque qu'on peut visuiter...)
- Moins culturellement : La "6th avenue". Pour résumer : une rue de bars. Il y en a pour tout les goûts, ça va du Coyotte Ugly (je ne vous fait pas de dessin...) au bar de sport, avec une dixaines d'écrans sans compter l'écran géant, en passant par le bar blues avec une ambiance totalement différente. Dans cette rue, il y a des concerts gratuit tout les soirs où les groupes de la ville viennent jouer. Bref, je pense que vous l'avez remarquer, cette rue m'a vraiment marqué. Je vous conseil en passant le Nuno's, bar blues dans lequel j'ai écouté Pinetop Perkins bluesman de 95 ans et toujours en pleine forme.
Le retour
Au niveau du retour, j'ai eu une superbe blague, si, si, vraiment ! En arrivant pour enregistrer mes baguages à l'aéroport d'Austin, on m'a fait signer une décharge disant que s'il se retrouvait dans un mauvais état en France, la compagnie de transport n'en porterait pas la responsabilité. (Oui, il faut dire qu'il y avait un tube métalique qui sortait de ma valise).Je décolle donc avec beaucoup d'apréhension quant à l'état de mon baguage à l'arrivée.
Les corespondance se passent bien jusqu'à Paris où le Paris/Lyon a eu 1:30 de retard pour cause d'une pièce à changer au niveau du moteur... (Très rassurant...).
(Attention voilà la blague, remarquez mon excellence dans le suspens -_-') Arrivé à Lyon... Le baguage.... En parfait état ! Si ça c'est pas merveilleux, d'habitude je ne signe rien et mon baguage est soit en retard, soit en mauvais état...
(Pas trop déçus j'espère :) )
Place aux photos.






















La carte
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